Reflexões a respeito do progresso
Por: Sara • 22/9/2018 • 1.399 Palavras (6 Páginas) • 306 Visualizações
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Communication à l’ère numérique
« L’une des règles d’or de la perception est que le contexte importe au moins autant que le texte dans une communication ». À l’ère numérique, ceux qui communiquent disposent à la fois de plus et de moins de contexte que jamais pour communiquer. Le plus concerne les équipements, les techniques et les cibles, le moins concerne le temps, l’instantanéité, l’interactivité, le rapprochement des communicants… C’est cette double dynamique, à la fois contradictoire et complémentaire qui font des modes de communication modernes un phénomène à part. Ce n'est pas parce que il existe des facilités de communication qu’on communique plus, de manière plus profonde ou qu’on renforce les liens sociaux. Mon opinion est que l’excès d’information, de moyens, engendre un effet inverse. Les relations sont plus nombreuses, donc plus superficielles et par conséquent plus éphémères. Le fait de donner trop d’importance à une identité et à des relations socio numériques peuvent engendrer un isolement et l’oubli du corps social. Les relations humaines ne sont pas faites que de simples échanges de pensée à pensée : le regard, le toucher, l’odorat, l'écoute, etc font partie intégrante de nos relations humaines. Les amitiés nouées dans les réseaux sociaux réduisent les utilisateurs à des simples communicants, à ce que le philosophe Paul Mathias décrit comme un ensemble de « qui dit quoi à qui et comment ». C’est excellent et enrichissant d’avoir la possibilité de nouer des liens avec des personnes éloignées de nous mais que cela ne se fasse pas au detriment des relations avec les personnes qui nous entourent physiquement.
L’évolution des techniques de travail à travers la pensée de l'homme
En partant de l'idée de Hegel de ce que « le travail fait souffrir mais il nous élève au-dessus de notre animalité », j’ai décidé de développer une réflexion du progrès dans le domaine du travail. De mon point de vue, Hegel préconisait que le travail fait souffrir car il exige de notre part un effort physique et/ou intellectuel. Le livre de Genesis parle du travail en tant que malédiction conséquence du péché original. À partir de là, l’homme devient un esclave de sa nature, de son corps et de tout ce qui lui avait été donné gratuitement par le Maître devrait désormais être acquis à travers l’effort et dans la sueur. Mais en travaillant, l’homme s’est découvert maître lui-même, maître de la nature. Et en tant que maître de la nature, l'esclave se libère de sa propre nature, de son instinct qui le liait à celle-ci et qui faisait de lui un esclave. Les philosophes des Lumières ont voulu aller plus loin que ce qui préconisait Hegel. Ils ont voulu, en plus de leur libération, prendre la place du Maître. D’autres ont voulu aller encore plus loin, car plus que se libérer et plus que prendre la place du Maître, ils ont voulu le tuer. Jusqu’où l’homme doit-il aller dans sa soif de contrôle de sa propre nature ?
Conclusion
Toutes les thématiques ont été développées en ayant le progrès comme thème central. Cependant un autre élément commun essentiel peut être dégagé de chaque réflexion et des enjeux qu’y sont liés. Cet élément essentiel, c’est l’éthique. Le comportement éthique fonctionne comme une sorte de balise qui peut délimiter chacune des actions de l’homme dans n’importe quel domaine de la vie en société.
Bibliographie
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Légitimité démocratique : représentation ou participation ? (2017). Retrieved from https://ethiquepublique.revues.org/
Sustentabilidade. (2017) http://www.jauregui.arq.br/sustentabilidade.html
Hume, D. (1739-1740). Treatise of human nature, being an attempt to introduce the experimental method of reasoning into moral subjects, John Noon, Londres. Traduction française, Traité de la nature humaine. André Leroy, 2 vol, Aubier, 1956.
Arbois, J. (2016). Penser, aimer, vivre... avec la philo. L’évolution des techniques de travail à travers la pensée de l'homme. City Editions
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